Chaque pratiquant, pour sa sécurité, doit porter une aide à la flottabilité.
L’aide à la flottabilité est le premier moyen de sécurité. Il en existe de marques différentes, de formes différentes. Elle doit être étiquetée norme CE : Communauté Européenne.
Toute aide n’étant pas conforme à la norme CE est considérée comme «hors la loi».
Une aide à la flottabilité pour être efficace doit être capelée comme indiqué par le fabricant et à la taille du pratiquant. Une signalétique est apposée à l’intérieur du gilet. Chaque aide doit faire l’objet d’une vérification annuelle comme le prévoit les Instructions Fédérales.
Une aide à la flottabilité est de 50 newtons et un gilet de sauvetage est supérieur ou égal à 100 newtons.
La tenue vestimentaire est très importante. La pratique de la voile, contrairement aux sports en salle, est soumise aux éléments extérieurs comme la mer ou les conditions météorologiques.
Il existe de nombreuses tenues adaptées aux conditions de navigation : (vêtements légers, combinaison sèche, combinaison isothermique…).
Naviguer avec une tenue décalée par rapport aux conditions extérieures peut rapidement devenir handicapant et dangereux.
Le port de chaussures fermées est fortement recommandé : chocs, coupures et épines d’oursins seront facilement évités afin d’optimiser le temps de navigation.
La protection contre le soleil est aussi primordiale. Il faut porter des lunettes de soleil, se couvrir la tête et ne pas hésiter à user et abuser de la crème solaire quelque soit l’époque de l’année.
Le principe des trois couches de vêtements :
Pour une pratique de la navigation hivernale dans de bonnes conditions, il faut respecter le principe des trois couches de vêtements.
Les couches 2 et 3 ne doivent pas se porter trop près du corps, une couche d’air étant nécessaire pour assurer un tampon thermique.